Voici le National Gallery de Londres.

Un petit tour rapide au British muséum, c'est l'avantage des musées en Angleterre. C'est qu'il sont gratuits, et que l'on peut y entrer pour un court moment, et y revenir indéfinitivement.

C'est l’un des plus importants et l’un des plus anciens musées au monde.Depuis 1753, il regroupe des objets insolites, rares et originaux du monde entiers de la préhistoire à nos jours…En 2000, l’architecte Foster a rénové la grande cour créant la première place couverte de Londres. Selon moi, une superbe réussite !

La première chose que l'on découvre en entrant dans la salle concernant l'Egypte, c'est la pierre de rosette. Difficile de l'approcher tant les touristes se pressent autour de cette pièce maîtresse.

Maintenant que l'on connait l'un des ingénieurs du métro de Londres, en la personne de James Henry Greathead, nous pouvons emprunter Le « Tube ». Il a fêté ses 157 ans de bons et loyaux services. C'est en effet le 9 janvier 1863 que la première rame a été lancée.

Le parcourir est pour le touriste une expérience intéressante sur la vie londonienne. Mais une véritable épreuve pour ceux qui se rendent au travail, car il est bondé aux heures de pointe. Et je pense à ma fille qui affronte quotidiennement ce parcours du combattant.

C'est un peu la jungle ...qui se dessine aussi sur ses murs.

Si les murs y sont bien sûr couverts de publicités comme ailleurs, ils sont aussi plein d'enseignements.

Comme à Charring cross où la présence de ces portraits royaux nous signalent la proximité des musées.

Devant la cathédrale saint Paul se dresse la statue de la reine Anne de Grande-Bretagne. Elle régna de 1702 à 1714.

James Henry Greathead, (1844 en Afrique du Sud -1896) est un ingénieur renommé pour ses travaux sur le métro de Londres. Il a conçu avec Barlow le bouclier qui sert à creuser les tunnels.

La chèvre est sculpture de Kenny Hunter. Elle se trouve sur la place des évèques près du marché de Spitalfields. Je trouve qu'elle apporte une note incongrue, mais raffraîchissante dans une ville aussi citadine que Londres.

Un peu plus loin une poire, ne me demandez pas ce qu'elle fait là ...Peut être que la belle Hélène vivez autrefois dans le quartier.

Nous sommes toujours dans le quartier de Spitafields avec ses nombreuses maisons de style huguenot.

Wilkes street est un témoin de la forte concentration de cette communauté à Londres.

Les huguenots étaient en général hautement qualifiés et arrivaient avec un métier ou une profession qui facilita leur assimilation.

Ils contribuèrent de façon significative à la société anglaise dans les domaines de l’orfèvrerie, du textile, de l’horlogerie, de l’ébénisterie ou de l’imprimerie.

Le faubourg de Spitalfields attira les artisans de la soie et de la mode. Tisserands, tailleurs, chapeliers, modistes, perruquiers, merciers, tapissiers, fabricants de mouchoirs et d’éventails

Le style est assez austère. Ici on est dans la demi mesure comme ce numéro de rue.

La plus connue des galeries londoniennes est sans doute "Covent garden''. Mais nous n'avons fait qu'y passer.

Alors découvertes de deux autres marchés couverts de Londres. Tout d'abord Leadenhall market.

C'est un marché couvert de style plutôt victorien avec de belles arcades colorées.

Il est recouvert d'une magnifique structure en verre et en fer forgé conçue en 1881 par l'architecte Sir Horace Jones,

Ce marché se trouve sur une des plus grandes zones commerciales de l'époque romaine connue alors pour la vente de viande, de gibier et de volaille. Ce qui fait que Leadenhall Market est l'un des plus vieux marché de Londres. D'ailleurs beaucoup de boutiques sont encore munies de crochets de boucherie.

Le deuxième marché couvert où nous sommes allés est Old Spitalfields Market. Il se trouve non loi du quartier de whitechapel où Jack l'éventreur est devenu tristement célèbre. Il est entiérement recouvert.

On y trouve de tout art, antiquités, vêtements de créateurs, des souvenirs ....

...et au milieu de tout ça on trouve de quoi se restaurer, prendre un thé, où goûter une patisserie. Assez insolite ici cette pizzéria ambulante, avec son four à pain.

Une très belle découverte pour moi en traversant le vestiaire de l'église du centre de réconciliation ! En effet, cachés derrièrre les manteaux, suspendus à des portants, j'ai découvert un panneaux composés de plusieurs authentiques molas.

Les Molas sont des appliqués inversés, composés de plusieurs couches de tissus et souvent rebrodés.

Ces sculptures de tissus sont traditionnellement produites par les femmes amérindiennes Cuna

En principe , les motifs s'inspirent de la nature. ici il s'agit essentiellement de portraits de différents peuples. J'en ai déduit que c'était peut être en raison du lieu, qui est un centre de réconciliation des peuples.

Je n'ai pas réussi à trouver d'explication sur ce magnifique ensemble, dont je n'ai pu photographier que quelques visages, en raison des nombreux manteaux qui les cachaient.

Il y a des avantages à visiter Londres avec notre fille, qui est une vraie Londonienne. C'est qu'en tant que touristes, nous n'aurions sûrement pas poussé cette porte.

Pour nous retrouver dans le mini jardin d'une église.

Avec une seconde porte qui donne ...Sur une yourte !

Pas beaucoup de recul pour la prendre en photo,en entière. Elle est vraiment insérée dans cette mini cour.

Mais si si, il s'agit bien d'une yourte !

Il faut se déchausser pour y enter.

Il s'agit d'un centre de réconciliation et de paix.

Nouvelle année, nouveau projet. Comme l'année dernière je me lance dans le QAL de "patchwork inspiration " dont le thème cette année est les etoiles. A raison de deux blocs par semaine. Il faut en réaliser un minimum de16. Voici mes 4 premières, entièrement cousues main.

La pièce de deux euros, donne l'échelle des étoiles.